Le Brésil est aujourd’hui une destination fameuse pour faire la chirurgie esthétique. Toutes les interventions s’y pratiquent : Rhinoplastie, liposuccion, plastie des fesses et implants mammaires sont même les plus demandées.
Voici un article sur la chirurgie esthétique dans le pays où le culte du corps est un véritable sport national.
Rhinoplastie, augmentation mammaire, liposuccion à crédit :
La chirurgie esthétique au brésil comme partout dans le monde d’ailleurs concerne tout d’abord les classes favorisées.
Néanmoins, cette pratique commence à se démocratiser. Grâce aux crédits bancaires et au paiement étalé proposés par plusieurs cliniques, les classes moyennes y ont désormais accès.
Au Brésil payer sa chirurgie plastique, c’est comme payer sa voiture.
Le risque est la multiplication des médecins escrocs qui proposent des prix très bas mais qui n’ont pas les diplômes nécessaires pour la pratique de plusieurs interventions réparatrices, ce qui met en péril la santé des patients ;
A la recherche du bon chirurgien :
Les chirurgiens et dermatologues brésiliens sont très actifs sur le web et sur les réseaux sociaux. Au brésil la chirurgie esthétique n’est pas taboue et les femmes en parlent ouvertement entre elles.
Les brésiliennes choisissent leurs chirurgiens en fonction du bouche à oreille .Si une amie ou un membre de la famille réussit son opération alors on juge minutieusement su pièces. C’est devenu même fréquent de croiser une bande de filles inspecter dans les toilettes d’un bar branché le résultat d’une rhinoplastie, ou examiner minutieusement les cicatrices et le résultat final d’une augmentation mammaire.
Au Brésil, Ivo Pitanguy est le Pelé de la chirurgie esthétique. Une légende du Bistouri. Ce chirurgien talentueux a révolutionné sa discipline. Très soucieux du résultat naturel que doit donner une intervention de chirurgie plastique, il a été l’auteur de plusieurs innovations reconnues dans le monde entier comme celles de la réduction et augmentation des seins. Le père de la chirurgie esthétique a fondé une école très réputée qui a formé les meilleurs chirurgiens du pays.
L’établissement d’Ivo Pitanguy a été le premier à s’intéresser au bien être psychique des patients et d’identifier ceux qui avaient besoin d’un accompagnement psychologique. La clinique a même été la première à disposer de cellules d’accompagnement pour traiter les patients qui ont un rapport addictif à la chirurgie, une dysmorphobie ou une mauvaise estime de soi.
Même si la plupart des patients sont des femmes ces dernières années les chirurgiens brésiliens ont vu débarquer plusieurs patients hommes dans leurs cabinets cherchant à se débarrasser de certains complexes et à la quête du corps parfait. Aujourd’hui les diktats de la mode ne s’imposent plus qu’aux femmes !